La rectrice

La rectrice
Mme Jill Scott Ph.D.
Rectrice

Collège militaire royal du Canada
CP 17000, Succursale Forces
Kingston (Ontario) CANADA
K7K 7B4

Téléc : (613) 541-6039

Bureau : (613) 541-6000 poste 3880 

Notice biographique

Avant sa nomination au Collège militaire royal du Canada, Jill Scott, Ph. D., a occupé les postes de provost et vice-rectrice aux affaires académiques et de professeure à la Faculté des arts de l’Université d’Ottawa. À ce titre, elle a été directrice des études et du budget de 2019 à 2024, offrant un leadership dans des domaines clés comme l’excellence en matière d’équité, de diversité et d’inclusion, la lutte contre le racisme, les affaires autochtones et la réconciliation, ainsi que la santé mentale et le bien-être.

De 2013 à 2019, Mme Scott a occupé le poste nouvellement créé de vice-rectrice (enseignement et apprentissage) à l’Université Queen’s, où elle a supervisé la mise en œuvre d’un nouveau processus d’assurance de la qualité des études, dirigé les activités de recherche et les nouvelles pratiques d’évaluation des capacités cognitives d’ordre supérieur dans les programmes de premier cycle, et codirigé le Groupe de travail sur la vérité et la réconciliation. Mme Scott a aussi assumé des responsabilités supplémentaires en tant que vice-rectrice adjointe (international) par intérim en 2018‑2019. En outre, lorsqu’elle était responsable des programmes de langue et littérature allemandes, elle a mené une réforme majeure des programmes d’études et des structures.

À l’Université Queen’s, elle était professeure au Département de langues, littératures et cultures, notamment, en langue et littérature allemandes, et a travaillé dans le cadre de nominations conjointes au Département d’études féministes et de genres ainsi qu’au sein du programme de cycles supérieurs en études culturelles. Mme Scott a enseigné et publié abondamment dans les domaines des études littéraires allemandes et autrichiennes, du pardon et de la résolution des conflits, ainsi que des études autochtones. Elle est titulaire d’un doctorat en littérature comparée de l’Université de Toronto, et elle parle couramment l’anglais, le français et l’allemand.

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